Black Lion Audio - PBR TRS3
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Câblerie
Black Lion PBR TRS3 propose quarante‑huit points de patch symétriques sur connecteurs plaqués or, installés dans un châssis 1 U robuste. Chaque canal se règle en normal, semi‑normal ou thru grâce aux commutateurs arrière, permettant de créer des liaisons permanentes ou temporaires sans débrancher. Le routage rapide facilite la duplication de bus, le traitement parallèle ou la sélection de moniteurs. Les étiquettes frontales incluses assurent une identification claire pour des sessions fluides.
ARTICLE N° 105728


Présentation
Le Black Lion PBR TRS3 étend la flexibilité de patch aux studios qui jonglent avec plusieurs convertisseurs, processeurs dynamiques et effets modulaires. Installé dans un espace de 1 U, il propose quarante‑huit points de connexion symétriques sur jacks TRS plaqués or, répartis en rangées haute et basse pour acheminer sans bruit un signal ligne professionnel.
Derrière la façade en aluminium, des commutateurs individuels permettent de définir le comportement de chaque point : en mode « normal » le trajet est permanent entre deux appareils, en « semi‑normal » le flux se coupe dès qu’un cordon s’insère, tandis que « thru » laisse l’entrée et la sortie indépendantes pour les périphériques que l’on substitue fréquemment.
Cette modularité évite de repasser derrière la baie à chaque changement de configuration ; il suffit d’un tournevis court pour régler la position d’un canal, puis d’étiqueter les rangées à l’aide des bandes fournies pour garder un schéma clair au quotidien.
Dans une régie qui combine mixeur analogique et interface multicanal, le patchbay devient le centre de distribution : on duplique un bus stéréo vers un égaliseur matériel avant de l’envoyer à la station de travail, on réalise un traitement parallèle en renvoyant la sortie d’un compresseur dans une entrée libre, ou l’on bascule la section monitoring entre plusieurs convertisseurs sans toucher aux câbles des enceintes.
Les studios de podcast apprécient cette approche lorsqu’ils doivent inviter un nouveau périphérique USB ou une boîte de direct dans la chaîne sans interrompre l’enregistrement. Les labels de mastering utilisent la fonction « thru » pour insérer et retirer un limiteur en test sans briser la liaison normalisée entre le convertisseur et la console passive.
Le design passif, dépourvu d’amplification interne, garantit qu’aucune partie du spectre ne se déforme : un synthé modulaire reste punchy dans le grave, un piano capté à 96 kHz garde sa micro‑dynamique, et la phase demeure stable lorsque l’on empile plusieurs traitements successifs.
La façade noire se fait discrète sous les écrans, et le châssis renforcé soutient sans fléchir les pressions répétées des cordons lors des sessions intenses. Une baie bien organisée accélère la créativité : plutôt que de chercher un câble derrière un rack, l’ingénieur patch simplement le compresseur désiré, écoute la comparaison en direct, et peut passer à la prise suivante ou à l’étape d’édition.
Derrière la façade en aluminium, des commutateurs individuels permettent de définir le comportement de chaque point : en mode « normal » le trajet est permanent entre deux appareils, en « semi‑normal » le flux se coupe dès qu’un cordon s’insère, tandis que « thru » laisse l’entrée et la sortie indépendantes pour les périphériques que l’on substitue fréquemment.
Cette modularité évite de repasser derrière la baie à chaque changement de configuration ; il suffit d’un tournevis court pour régler la position d’un canal, puis d’étiqueter les rangées à l’aide des bandes fournies pour garder un schéma clair au quotidien.
Dans une régie qui combine mixeur analogique et interface multicanal, le patchbay devient le centre de distribution : on duplique un bus stéréo vers un égaliseur matériel avant de l’envoyer à la station de travail, on réalise un traitement parallèle en renvoyant la sortie d’un compresseur dans une entrée libre, ou l’on bascule la section monitoring entre plusieurs convertisseurs sans toucher aux câbles des enceintes.
Les studios de podcast apprécient cette approche lorsqu’ils doivent inviter un nouveau périphérique USB ou une boîte de direct dans la chaîne sans interrompre l’enregistrement. Les labels de mastering utilisent la fonction « thru » pour insérer et retirer un limiteur en test sans briser la liaison normalisée entre le convertisseur et la console passive.
Le design passif, dépourvu d’amplification interne, garantit qu’aucune partie du spectre ne se déforme : un synthé modulaire reste punchy dans le grave, un piano capté à 96 kHz garde sa micro‑dynamique, et la phase demeure stable lorsque l’on empile plusieurs traitements successifs.
La façade noire se fait discrète sous les écrans, et le châssis renforcé soutient sans fléchir les pressions répétées des cordons lors des sessions intenses. Une baie bien organisée accélère la créativité : plutôt que de chercher un câble derrière un rack, l’ingénieur patch simplement le compresseur désiré, écoute la comparaison en direct, et peut passer à la prise suivante ou à l’étape d’édition.
Autres caractéristiques
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Black Lion PBR TRS3
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Patchbay 48 points TRS avec normalisation commutable
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Format : 19", 1U rackable
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Matériau : façade en aluminium anodisé noir, châssis renforcé
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Connectique :
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96 jacks TRS 6,35 mm plaqués or (48 entrées + 48 sorties)
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Modes de normalisation :
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Normal
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Semi-normal
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Thru (bypass)
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Commutateurs de configuration placés à l’arrière
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Livré avec étiquettes pour panneau avant
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Routage polyvalent : duplication, traitement parallèle, monitoring…
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Conception audiophile : transmission du signal sans perte ni coloration
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Dimensions : 482 x 102 x 45 mm
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Poids : 1,4 kg